L'écrit renaît en ce jour.
Aussi éphemère qu'est l'étreinte, Aux méandres fous de l'inconscient, Retournez le, Retournez le. Un calendirer m'enferme, Retournez le, retournez le. L'âme, de ma tête folle, Retournez le, retournez le. Je glisse mes doigts au creux des cuisses, Retournez le ! Et qu'il porte ça main sur la sphère. Retournez le, Retournez le. Mahaut, 25/03/2007.
Elle me mène,
Suite logique,
Au desert où de mes mains,
Je gave des maux ma mère originelle,
Tel Orphée pleurant son Eurydice,
Elle hurle l'hymen dechirée
De l'enfant non-achevée.
Je croise le corps et l'ésprit
De l'inconnu homme.
J'invective le rêve,
J'absoue la raison,
Je noies le papier.
J'en appelerai presque
Les nébuleuses d'un monde en surcis.
- Ô roi chronos -
En la crainte d'être deux.
Se heurte sur les paroies
De mon corps, nu de tout espoirs.
Au mileu d'une foule en trance
Pour des mots qui sonnent faux,
Ma voix s'éleve et se brise,
Je chante le silence d'une verité sans pitié
Je cherche à savoir ce qu'est être pure,
Je ne jouis en rien de cette barrière que je me mets.
Ma prison de vers et moi.
Une préssion du coeur, un pulsion de l'air.
Sentir l'éxplosion des sentiments,
Et non plus le ventre amer plein
De la semance malsaine d'un homme mauvais.
Athée de toute part, j'en pris pourtant
A la divinité qui voudra l'entendre.
Je n'attend pas mais s'aurai le faire.
Mes paupieres closes rejoignent Morphée
Et j'aime à imaginer,
Magique quietude.
L'étranger me bercer.